Croissance, inflation et fin du Omicron : L'économie suisse en 2022
Entre annonces de croissance soutenue, augmentation des prix et fin de la vague Omicron, l’économie suisse traverse une période d’instabilité qui ne semble toutefois pas inquiéter les experts. Nous avons rassemblé dans cette Revue de presse une série d’articles pour mieux comprendre ce qui nous attend en 2022. Bonne lecture !
Raiffeisen : croissance économique toujours attendue à 2,5% en 2022
L'économie suisse devrait poursuivre sa croissance cette année, malgré la forte vague Omicron. Celle-ci ne sera toutefois pas aussi forte qu'en 2021, selon les économistes de Raiffeisen.
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Les leçons économiques du Covid-19
La pandémie du Covid-19 a modifié de manière importante la vie d’un très grand nombre de personnes, de différentes manières et dans bien des domaines.
Lire le blog de Sergio Rossi dans letemps.ch
L’économie suisse gardera le cap en 2022
Si le variant Omicron risque de freiner la reprise en début d’année, une croissance du PIB helvétique de l’ordre de 3% reste à portée d’atteinte, selon les conjoncturistes.
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Inflation : l’exception suisse qui permet de compenser la hausse des prix
Le Franc suisse étant très fort, il peut amortir une partie du coût des importations, lesquelles constituent l'essentiel de la consommation locale.
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Stephane Garelli : « Certains secteurs seront touchés de plein fouet par l’inflation »
L'inflation n'a jamais été aussi élevée aux Etats-Unis depuis quarante ans. En Allemagne et au Royaume-Uni, les prix atteignent des niveaux record. Qu'en est-il en Suisse? "On va s'en sortir plus ou moins bien", estime Stéphane Garelli, professeur d'économie à l'IMD Lausanne, lundi dans La Matinale.
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La BNS continue de scruter avec attention l’inflation
«Ce qui compte, c’est qu’à moyen et à long terme, la politique monétaire permette d’assurer la stabilité des prix», déclare le président Thomas Jordan.
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Les travailleurs frontaliers, une variable essentielle pour l’économie suisse
On les appelle les « permis G », du nom de l’autorisation qui leur permet d’aller travailler de l’autre côté de la frontière. Dans un ouvrage, trois scientifiques helvétiques brossent pour la première fois un portrait de ces expatriés à la journée, dont les Français constituent le plus fort contingent.
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